Entre México y Madrid, la herencia colonial provoca toujours la tension
CARTA DE MÉXICO
Ausencia de Leur a révélé le malestar. Aucun director espagnol de haut rang ne s’est rendu à Mexico, lundi 27 septembre, pour le bicentenaire de l’indépendance. Cette année, le Mexique aussi commémoré les 700 ans de la fondation de Tenochtitlan, la capitale de l’Empire aztèque, et les cinq siècles de sa conquête par Hernan Cortès. Des festivities qui crispent les relaciones bilaterales después del presidente mexicano, Andrés Manuel López Obrador («AMLO»), el appelé le roi d’Espagne et le Vatican à « s’excuser » verter « les violaciones des droits de l’homme » lors de la conquête et de la colonisation.
Sur le Zocalo, l’inmenso lugar principal de la megalópolis, la reconstitución de « la entrada triunfal » de l’armée des insurgés dans la capitale, el 27 de septiembre de 1821, ses voulait spectaculaire avec ses feux d’artifices, ses effets lumineux et ses centaines de figurants en costume. Deux cents invités, triés sur le volet (medidas sanitarias obligatorias), ont néanmoins assisté au show, dont la ministre française de la Transition écologique, Barbara Pompili, le président du Belize, la première dame de Serbie o le ministre indien des affaires étrangères. Sur cette estrade très sélecte, l’ambassadeur espagnol, Juan Lopez-Doriga Pérez, représentait seul l’ancien Etat colonisateur. Interrogé par la presse de son pays, le minister espagnol des affaires étrangères, José Manuel Albares, para explicar « ne pas avoir reçu d’invitation ».
Cet été, AMLO avait deploré le fait que le gouvernement de Pedro Sanchez et le Vatican n’aient pas daigné répondre à ses missives. « L’Eglise catholique, la monarquía española y el gobierno mexicano doivent présenter des excuses publiques aux peuples originalels qui ont subi les atrocités les plus honteuses, le pillage de leurs biens et de leurs terres, pour être soumis », disponible écrit, en 2020, au pape François. L’année précédente, AMLO adressait une lettre similaire au roi Felipe VI. Dans la foulée, les authorités espagnoles avaient refusé en block, répliquant dans un communiqué que «L’arrivée, il ya cinq cents ans, des Espagnols sur le territoire mexicain ne peut pas être jugée à l’aune de conidérations contemporaines».
Las excusas de AMLO aux peuples indigènes
Après un largo silencio, le pape s’est montré plus conciliant. Sa lettre, lue le 27 septembre conferencia lors de la presse quotidienne d’AMLO, « reconnait les erreurs commises »apelar a «un proceso de purificación de la memoria». Le paper ne present pas d’excuses formelles pour autant, rappelant que le Vatican a déjà « exijo perdón por las acciones y omisiones que no contribuyen a la evangelización ».
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