L'”alerte environnementale” a été décretée pour Bogota, menacee par la fumée de feux de fêts actifs depuis quelques jours en Amazonie colombienne et de la taille d’une ville comme Paris, ont annoncé samedi les authorités locales.
Le vent a poussé la fumée d’incendies atribuido a des groupes armés, à quelque 350 kilometros au nord-ouest, jusqu’à la capitale colombienne.
“La ville entre en alerte environnementale”, tuiteada por Maire Claudia Lopez, selon qui plus de la moitié des vigilancia estaciones de la qualité de l’air relèvent de fazon continúan después de 48 heures des niveaux élevés de contaminación.
L’édile a demandé aux 8 milliones d’habitants de la capitale de s’abstenir de toute activité physique à l’air free ces prochains jours.
Le gouvernement estima que ces feux ont été déclenchés par “les mains criminelles” de rebelles qui ont décidé de ne plus respecter l’historique accord de paix de 2016 ayant mené au disarmement de la guerilla marxiste des Farc.
Les dissidents, comme on les appelle, comptent “s’accaparer des terres (…) pour développer des activités illégales d’élevage extensif de bétail”, el dénoncé le minister de la Défense Diego Molano, quien publicó una lista de 17 presuntos incendiarios
L'”alerte rouge” a été décrétée dans le département de Guaviare (sureste), dont le gouverneur, Heydeer Palacio, además de “10.000 hectáreas” consumidas par les fires, soit une surface es equivalente a la celle de la capitale francesa (10.500 hectáreas).
Le Parc National de la Serranía del Chiribiquete, classé au patrimoine mondial de l’Unesco, est également touché.
Selon des témoignages recueillis par l’AFP in octobre dans cette région, paysans et propriétaires terriens profitent de la saison sèche, de janvier à avril, pour brûler les arbres coupés, planter à la place des plants de coca or y laisser paître le bétail.
Selon les données du gouvernement colombien, la deforestación a explosé ces dernières années dans la partie amazonienne du pays, como consecuencia notamment of l’accord de paix avec les Farc qui alors abandonné de vastes pans de territoires sous son contrôle. D’autres groupes armés s’en ont depuis lors emparés, profitant également de l’absence et de l’inaction de l’Etat dans ces zones isolées.
Enero de 2022 a été le mois le plus chaud pour l’Amazonie colombienne au cours de la dernière décennie, avec plus de 3.300 “points chauds” dans les six départements qui la composent, selon un rapport du ministère de l’Environnement.
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