Dans des déclarations, les 9 et 10 février, le président mexicain, Andrés Manuel López Obrador, s’en est pris durement aux grandes entreprises espagnoles installées dans le pays. Pourtant l’Espagne est le deuxieme investisseur au Mexique. Comentarios sobre la presse des deux pays.
Le president mexicain, Andrés Manuel López Obrador, dit AMLO, s’en est pris violemment à l’Espagne, acusant Certaines de ses entreprises de vouloir “voleo” le Méxique.
Du coup, les relaciones diplomáticas se sont, une nouvelle fois, fuertemente tendues entre les deux pays.
Mercredi 9 février, le président de gauche, qualifié parfois de “populista” avait déclaré – cité notamment par le grand quotidien économique mexicain El Financiero – volumen “faire une pause” dans ses economic Relations avec l’Espagne, visant les entreprises espagnoles installées au Mexique :
Nous voulons avoir de bonnes relaciones [avec elles]mais nous ne voulons pas qu’elles nous volent.”
Alusión a la obertura económica
Jeudi 10, il est revenu très partiellement sur ses déclarations : “Je ne parle pas de rupture, [mais] son sont jouées de nous et de notre peuple”. Il faisait alusion à l’overture économique du pays engagée par ses prédécesseurs à la tête de l’État:
Durante el período neoliberal, des entreprises espagnoles nous ont considera comme une terre de conquête.”
L’Espagne n’a pas tardé à réact à travers un communiqué du ministère des Affaires étrangères : “[Notre] gouvernement souhaite des Relations fondées sur un respect mutuel […]sans el género de declaraciones.”
Le quotidien español El país descifrar ce qu’il califie d’“invectivas” :
En toile de fond se trouve [le projet] de réforme du secteur électrique, une des mesures phares du gouvernement [mexicain]Jue
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José Martín
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