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En España, el Catalogne rehabilita a las «sorcières», «víctimas de una persecución misógina»

Le palais de la Généralité de Catalogne, à Barcelone (Espagne), en 2019.

Torturées, pendues, accusées of crime sans preuves: le Parlement de la région espagnole de Catalogne (nord-est) a approuvé, mercredi 26 janvier, une résolution visant à réhabiliter la mémoire de centaines de femmes exécutées pour «hechicería» entre ellos XVy y XVIIIy siècles.

Les groupes indépendantistes, majoritaires au Parlement régional, et de gauche à l’origine de cette Initiative estiment que ces femmes ont été « víctimas de una persecución misógina » et réclament que leurs noms puissent être donnés à des rues de ciertas villes de la région.

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La chasse aux sorcières, qui a duré plusieurs siècles, a été particulièrement intenso dans cette région. Selon la revue scientifique locale sapiens – dont les enquêtes ont servi, avec les recherches de l’historien barcelonais Pau Castell, from base à cette résolution –, la Catalogne a été l’une des régions d’Europe où ont eu lieu des actes anti-sorcellerie, de desde 1471 Elle est aussi considerée comme l’une des régions où ont eu lieu le plus d’executions de « hechiceras ».

Les noms de plus de 700 femmes récupérés

« Nous avons récupéré récemment le nom de plus de 700 femmes qui, entre les XVy y XVIIIy siècles, ont été jugées, torturées et exécutées », ont ainsi indiqué les formaciones ayant propone cette résolution, qui a été adoptée à une très large majorité (114 votos a favor, catorce contras y seis abstenciones).

Les vies et morts tragiques de ces femmes – dénoncées par leurs voisins – seront désormais analysées dans une perspectiva de género, afin de sensibiliser la population à leur sort, comme c’est déjà le cas en Ecosse, en Suisse, en Norvège ou dans la Región española de Navarra, détaille le texte approuvé.

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« Avant on nous appelait les sorcières, maintenant on nous appelle les féminazies, les histeria o les mal baisees. Avant, on parlait de chasse aux sorcières et maintenant on parle de féminicides », la defensa à la tribune du Parlement régional Jenn Díaz, du parti Gauche républicaine de Catalogne (ERC).

Le Monde con AFP

Eugènia Mansilla

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